Un magnat de la logistique du camionnage de Monterrey, au Mexique, nommé Javier Selgas n'avait pas besoin de diriger une plate-forme chargée de crypto en espèces vers Trump Tower

Javier Selgas, le PDG de Freight Technologies Inc, une préoccupation transfrontalière de camionnage, a déclaré que son entreprise avait récemment acheté 20 millions de dollars du $ Trump Memecoin - un type faddish de crypto-monnaie sans valeur inhérente autre que sa propriété de Donald Trump

A trucking logistics magnate from Monterrey, Mexico, named Javier Selgas didn’t need to direct a rig laden with crypto cash toward Trump Tower on New York’s gilded Fifth Avenue to make a politically strategic investment in the family of America’s 47th president — but he might as well have.

Un magnat de la logistique du camionnage de Monterrey, au Mexique, nommé Javier Selgas, n'avait pas besoin de diriger une plate-forme chargée de crypto en espèces envers Trump Tower sur la cinquième avenue dorée de New York pour faire un investissement politiquement stratégique dans le 47e président de la famille du Famille du 4 - mais il aurait tout aussi bien fait.

Selgas, the CEO of Freight Technologies Inc, a cross-border trucking concern, said his firm recently purchased $20 million worth of the $TRUMP memecoin — a faddish type of cryptocurrency with no inherent value other than its ownership by Donald Trump, his family and close allies — for the explicit purpose of lobbying the White House on tariffs.

Selgas, le PDG de Freight Technologies Inc, une préoccupation transfrontalière de camionnage, a déclaré que son entreprise avait récemment acheté 20 millions de dollars du $ Trump Memecoin - un type faddish de crypto-monnaie sans valeur inhérente autre que sa propriété de Donald Trump, sa famille et ses alliés proches - dans le but explicite de faire pression sur la maison blanche sur les tarifs.

How do we know this? Because Selgas said so himself, both in a public news release and in a related filing with the U.S. Securities and Exchange Commission, needed to sell bonds for this international company to invest in the Trump family coin. The CEO said its $20 million purchase would be “an effective way to advocate for fair, balanced and free trade between Mexico and the U.S.”

Comment savons-nous cela? Parce que Selgas l'a dit lui-même, à la fois dans un communiqué de presse publique et dans un dossier connexe auprès de la Securities and Exchange Commission américaine, devait vendre des obligations pour que cette société internationale investit dans la pièce de la famille Trump. Le PDG a déclaré que son achat de 20 millions de dollars serait «un moyen efficace de plaider en faveur de la juste, équilibrée et libre-échange entre le Mexique et les États-Unis»

It sure could be. The Mexican entrepreneur’s large investment in the $TRUMP coin, which features his famous “fight” gesture after last July’s assassination attempt in Butler, Pa., would seem to guarantee an invitation for Selgas to an unprecedented — and I mean that in the worst possible way — event. The president recently announced that the top 220 holders of the $TRUMP meme coin are invited to dine with him at his Virginia golf course on May 22, while the top 25 will get exclusive facetime with POTUS 47.

Il pourrait être sûr. Le grand investissement de l'entrepreneur mexicain dans la pièce de $ $ Trump, qui présente son célèbre geste de «combat» après la tentative d'assassinat de juillet dernier à Butler, en Pennsylvanie, semble garantir une invitation à Selgas à un événement sans précédent - et je veux dire que de la pire manière possible -. Le président a récemment annoncé que les 220 meilleurs détenteurs de la pièce de mèmes $ Trump étaient invités à dîner avec lui dans son parcours de golf Virginia le 22 mai, tandis que le top 25 obtiendra Facetime exclusif avec POTUS 47.

So a foreign multimillionaire with $20 million to burn on a meme coin will get to personally plead his case for relief from the 25% tariff that the Trump regime imposed on Mexican goods earlier this year. An everyday American schlub who can’t afford a $25 margarita or find a doll for their daughter on a barren store shelf could never dream of such access.

Ainsi, un multimillionnaire étranger avec 20 millions de dollars à brûler sur une pièce de mème pourra plaider personnellement son dossier de soulagement du tarif de 25% que le régime Trump a imposé aux biens mexicains plus tôt cette année. Un schlub américain de tous les jours qui ne peut pas se permettre une margarita de 25 $ ou trouver une poupée pour leur fille sur une étagère de magasin stérile ne pourrait jamais rêver d'un tel accès.

This shockingly brazen case of the Selling of the President 2025 (as watchdogged by the group Accountable.us and HuffPo’s S.V. Date) probably should have been a huge breakthrough national story but it hasn’t been, for arguably a couple of reasons.

Ce cas choquant effronté de la vente du président 2025 (comme le fait de surveiller le groupe responsable.

On one hand, the $20 million windfall wasn’t the largest or most dubious foreign investment in “Trump Inc.” this week — not by a longshot. In Dubai, the Trump family cryptocurrency venture called World Liberty Financial — a separate operation from the meme coin — announced that a concern backed by the oil dictatorship of Abu Dhabi is buying $2 billion of its digital coins to complete a deal with a troubled top crypto firm that is regulated by the Trump administration.

D'une part, la manne de 20 millions de dollars n'était pas l'investissement étranger le plus important ou le plus douteux dans "Trump Inc." Cette semaine - pas par un Longshot. À Dubaï, l'entreprise de crypto-monnaie de la famille Trump appelée World Liberty Financial - une opération distincte de la pièce de mèmes - a annoncé qu'une préoccupation soutenue par la dictature pétrolière d'Abu Dhabi achète 2 milliards de dollars de ses pièces numériques pour conclure un accord avec une grande entreprise de cryptographie troublée qui est réglementée par l'administration Trump.

The cofounder of World Liberty Financial — Zach Witkoff, who perhaps not so coincidentally is also the son of Trump’s surprising and inexperienced pick for Middle East envoy, Steve Witkoff, who deals regularly with the oligarchs of the United Arab Emirates — promised a Gulf crypto conference, “This is only the beginning.”

Le cofondateur de World Liberty Financial - Zach Witkoff, qui n'est peut-être pas si par hasard est également le fils du choix surprenant et inexpérimenté de Trump pour l'envoyé du Moyen-Orient, Steve Witkoff, qui traite régulièrement des oligarques des Émirats arabes unis - a promis une conférence Gulf Crypto, «ce n'est que le début.»

But on the other hand, a massive scandal involving the web of conflict between the growing array of Trump family business ventures and his government’s dealings on tariffs, or ending the bloodshed in the Middle East, is so brazen, so public, and so large that the institutions tasked with stopping this level of graft seem overwhelmed, when not corrupted themselves. What ought to be a larger scandal than Watergate has instead been met with one large “American shrug.”

Mais d'un autre côté, un scandale massif impliquant le réseau de conflits entre la gamme croissante d'entreprises familiales de Trump et les relations de son gouvernement sur les tarifs, ou la fin de l'effusion de sang au Moyen-Orient, est si effrontée, si publique et si grande que les institutions chargées de l'arrêt de ce niveau de greffe semblent écrasées, lorsqu'elles ne sont pas corrompues elles-mêmes. Ce qui devrait être un scandale plus important que Watergate a plutôt rencontré un grand «haussement d'épaules américain».

Why?

Pourquoi?

This is the president who famously bragged during his 2016 campaign that “I could stand in the middle of Fifth Avenue and shoot somebody, and I wouldn’t lose any voters, OK?” At least metaphorically speaking, this has proved to be the truest thing Trump has ever uttered from a campaign podium. But why deal with messy bloodstains on the asphalt of Manhattan’s main shopping artery when there’s millions and possibly billions of dollars in graft to be pocketed instead.

C'est le président qui s'est vanté lors de sa campagne de 2016 que «je pourrais me tenir dans le milieu de la cinquième avenue et tirer sur quelqu'un, et je ne perdrais pas d'électeurs, ok?» Au moins, métaphoriquement, cela s'est avéré être la chose la plus vraie que Trump ait jamais prononcée d'un podium de campagne. Mais pourquoi faire face à des taches de sang désordonnées sur l'asphalte de l'artère d'achat principale de Manhattan alors qu'il y a des millions et peut-être des milliards de dollars de greffe à empocher à la place.

The corruption of Trump’s first presidency — foreign lobbyists, out-of-town favor seekers and government-backed Secret Service agents keeping his hotels and resorts above water — was both without precedent, yet also a mild kind of spring training for what was to come with Trump 47.

La corruption de la première présidence de Trump - des lobbyistes étrangers, des chercheurs de faveur de l'extérieur et des agents secrètes soutenus par le gouvernement gardant ses hôtels et ses stations hors de l'eau - était à la fois sans précédent, mais aussi un type de printemps léger pour ce qui allait venir avec Trump 47.

The foreshadowing came early — with that $2 billion Saudi investment in son-in-law Jared Kushner’s (a key Middle East envoy during Trump 45) vague new hedge fund, and the billion-dollar rise of Trump Media, a stock that soared and confirmed Trump’s billionaire status despite the firm’s huge losses and unlikely future prospects.

La préfiguration est arrivée tôt - avec cet investissement saoudien de 2 milliards de dollars dans le gendre Jared Kushner (un envoyé clé du Moyen-Orient pendant Trump 45) Vague Nouveau fonds spéculatif, et la montée en hausse des milliards de dollars des médias Trump, un stock qui a grimpé et confirmé le statut milliardaire de Trump malgré les énormes pertes de la société et les perspectives futures illégales.

All that before Trump discovered crypto, which he quite rightly nailed in 2021 when he told Fox Business Channel that products like Bitcoin looked to him like “a scam,” but who in 2024 seemed to wonder why he

Tout cela avant que Trump ne découvre la crypto, qu'il a cloué à juste titre en 2021 quand il a dit à Fox Business Channel que des produits comme Bitcoin ressemblaient à lui comme "une arnaque", mais qui en 2024 semblait se demander pourquoi il