Pourquoi la CIA est enthousiasmée par le bitcoin

Ellis a commencé par reconnaître le mythe que Bitcoin est entièrement anonyme. "Les gens ont peut-être pensé que Bitcoin était anonyme", a-t-il déclaré à Poseliano, "mais je dirais que c'est pseudonyme, non? Ce n'est pas vraiment anonyme."

Recently sworn-in Deputy Director of the US Central Intelligence Agency (CIA) Michael Ellis offered an unusually forthright assessment of Bitcoin's role inside the national-security apparatus in a conversation with podcast host Anthony Pompliano.

Michael Ellis, directeur adjoint de l'Agence centrale des États-Unis (CIA), Michael Ellis, a projeté une évaluation inhabituellement directe du rôle de Bitcoin dans l'appareil à sécurité nationale dans une conversation avec l'hôte du podcast Anthony Pompliano.

Why The CIA Is Excited About Bitcoin

Pourquoi la CIA est enthousiasmée par le bitcoin

Ellis began by acknowledging the myth that Bitcoin is fully anonymous. “People may have thought Bitcoin was anonymous, but I’d say it’s pseudonymous, right? It’s not truly anonymous,” he told Pompliano. That distinction, he continued, has flipped early criminal enthusiasm into an unexpected boon for investigators. “We are … excited as well because … there’s a lot of work that we do with law enforcement to try to track illicit crypto payments by bad actors.”

Ellis a commencé par reconnaître le mythe que Bitcoin est entièrement anonyme. "Les gens ont peut-être pensé que Bitcoin était anonyme, mais je dirais que c'est pseudonyme, non? Ce n'est pas vraiment anonyme", a-t-il déclaré à Poselian. Cette distinction, a-t-il poursuivi, a renversé un enthousiasme criminel précoce dans une aubaine inattendue pour les enquêteurs. «Nous sommes… excités aussi parce que… il y a beaucoup de travail que nous faisons avec les forces de l'ordre pour essayer de suivre les paiements de cryptographie illicites par de mauvais acteurs.»

The Deputy Director refused to single out Bitcoin as uniquely dangerous. “Bad actors, whether they’re drug cartels or terrorist groups or outlaw regimes, use cryptocurrency, but they used other tools as well,” he said, listing “dollars,” “cars,” and even “toner cartridges for their printers” as mundane equivalents. “Doesn’t mean we say we should ban all of those.”

Le directeur adjoint a refusé de distinguer le Bitcoin comme un dangereux unique. "Les mauvais acteurs, qu'ils soient des cartels de la drogue ou des groupes terroristes ou des régimes hors-la-loi, utilisent la crypto-monnaie, mais ils ont également utilisé d'autres outils", a-t-il déclaré, énumérant les «dollars», les «voitures», et même les «cartouches de toner pour leurs imprimantes» comme équivalents banals. "Cela ne signifie pas que nous disons que nous devrions interdire tous ceux-ci."

Ellis then delivered the line that will echo through policy circles: “Bitcoin is here to stay. Cryptocurrency is here to stay.” Institutional adoption, he argued, is now an irreversible “trend … one that this administration has obviously been leaning forward into.” For the intelligence community, the stakes are geopolitical. “It’s another area of technological competition where we need to make sure the United States is well positioned against China and other adversaries … we need to make sure that we are a leader in these fields internationally and not a laggard.”

Ellis a ensuite livré la ligne qui résonnera à travers les cercles politiques: «Bitcoin est là pour rester. La crypto-monnaie est là pour rester.» L'adoption institutionnelle, a-t-il soutenu, est désormais une «tendance irréversible… une« tendance dans laquelle cette administration s'est manifestement appuyée en avant ». Pour la communauté du renseignement, les enjeux sont géopolitiques. «C'est un autre domaine de compétition technologique où nous devons nous assurer que les États-Unis sont bien placés contre la Chine et d'autres adversaires… nous devons nous assurer que nous sommes un leader dans ces domaines à l'international et non un lagcard.»

Pompliano pressed him on the dual-use nature of open-source payment rails. Ellis embraced that framing. “We use technology as a tool, and Bitcoin and other cryptocurrencies are another tool in the toolbox. It’s also a target,” he explained, noting that the blockchain ledger can simultaneously “disrupt our adversaries’ use” of funds and “collect more intelligence to gather more information about them.”

Pospiano l'a pressé sur la nature à double usage des rails de paiement open source. Ellis a embrassé ce cadrage. "Nous utilisons la technologie comme un outil, et Bitcoin et d'autres crypto-monnaies sont un autre outil dans la boîte à outils. C'est aussi une cible", a-t-il expliqué, notant que le grand livre de la blockchain peut simultanément "perturber l'utilisation de nos adversaires" des fonds et "collecter plus d'intelligence pour recueillir plus d'informations à leur sujet".

Behind the operational talk lies a culture war playing out inside Langley. “There’s a little bit of a generational shift and a cultural shift going on that Director Burns and I are leading the way on,” Ellis conceded. “Not everyone in government … has these attitudes around new technologies. People are sort of trapped in an older mindset sometimes and we have to break through that and realize this idea that cryptocurrency is for people who have something to hide— that’s just not right.”

Derrière la conversation opérationnelle se trouve une guerre culturelle jouant à l'intérieur de Langley. "Il y a un petit changement générationnel et un changement culturel qui se déroule sur ce réalisateur brûle et je ouvre la voie", a concédé Ellis. «Tout le monde dans le gouvernement… n'a pas ces attitudes envers les nouvelles technologies. Les gens sont en quelque sorte piégés dans un état d'esprit plus âgé et nous devons percer cela et réaliser cette idée que la crypto-monnaie est pour les gens qui ont quelque chose à cacher - ce n'est tout simplement pas juste.»

Pompliano laughed that Ellis sounded like “the in-house Bitcoiner.” If the Deputy Director’s remarks prove anything, it is that the CIA no longer regards Bitcoin merely as a curiosity on the dark web. Instead, the agency views it as a permanent fixture of global finance—simultaneously a surveillance vector, an intelligence resource, and, perhaps, a competitive arena in which national power will be measured.

Pospiano a ri qu'Ellis ressemblait à «le bitcoiner interne». Si les remarques du directeur adjoint prouvent quelque chose, c'est que la CIA ne considère plus Bitcoin simplement comme une curiosité sur le Web sombre. Au lieu de cela, l'agence le considère comme un élément permanent de la finance mondiale - simultanément comme un vecteur de surveillance, une ressource de renseignement et, peut-être, une arène compétitive dans laquelle le pouvoir national sera mesuré.

At press time, BTC traded at $95,132.

Au moment de la presse, la BTC s'est négociée à 95 132 $.