Arthur Hayes a un message pour les investisseurs cryptographiques et Bitcoin (BTC) Hodlers obsédé par la politique de la Réserve fédérale

Alors que les États-Unis et la Chine se dirigent vers un accord commercial, Arthur Hayes a un message pour les investisseurs cryptographiques et Bitcoin (BTC) Hodlers obsédé par la politique de la Réserve fédérale: vous regardez la mauvaise institution.

Arthur Hayes, the outspoken co-founder of crypto exchange FTX, has a warning for bitcoin (BTC) investors: you're obsessing over the wrong U.S. institution.

Arthur Hayes, le co-fondateur franc de Crypto Exchange FTX, a un avertissement pour les investisseurs de Bitcoin (BTC): vous obsédez à la mauvaise institution américaine.

It isn't Federal Reserve Chair Jerome Powell or the risings rates that matter most, but rather Treasury Secretary Scott Bessent, who is quietly pulling the monetary levers to manage a ballooning U.S. debt load.

Ce n'est pas le président de la Réserve fédérale Jerome Powell ou les taux de hausses qui comptent le plus, mais plutôt le secrétaire au Trésor Scott Bessent, qui tire tranquillement les leviers monétaires pour gérer une charge de dette américaine en montgolfière.

“The real show is at the Treasury Department. Ignore the Fed. It doesn't matter,” Hayes told CoinDesk in a recent interview. “Powell didn't matter in 2022 under a Democratic regime, and he doesn't matter now under a Republican one.”

"Le vrai spectacle est au département du Trésor. Ignorez la Fed. Cela n'a pas d'importance", a déclaré Hayes à Coindesk dans une récente interview. "Powell n'avait pas d'importance en 2022 dans le cadre d'un régime démocratique, et il n'a pas d'importance maintenant dans un régime républicain."

For Hayes, the Federal Reserve has become a sideshow. The real lever-pulling is happening under Bessent, who is juggling buybacks and auction strategies to reshape global liquidity.

Pour Hayes, la Réserve fédérale est devenue une diaporama. Le véritable tir du levier se produit sous Bessent, qui jongle avec des rachats et des stratégies d'enchères pour remodeler la liquidité mondiale.

“The optimists among us like to say that the U.S. administration is pivoting toward stability and rational economic policies,” Hayes said. “The pessimists might say that the good times are coming to an end and that the U.S. is resorting to desperate measures to avoid default.”

"Les optimistes parmi nous aiment dire que l'administration américaine pivote vers la stabilité et les politiques économiques rationnelles", a déclaré Hayes. «Les pessimistes pourraient dire que les bons moments touchent à sa fin et que les États-Unis recourent à des mesures désespérées pour éviter le défaut.»

Ultimately, both outlooks converge on one point: there will be less, not more, liquidity in the system. And that, in the co-founder's view, bodes well for bitcoin.

En fin de compte, les deux perspectives convergent sur un point: il y aura moins, pas plus, la liquidité dans le système. Et que, selon le co-fondateur, en augure bien pour Bitcoin.

“All we care about is whether there are more dollars in the system today than yesterday. That's all that matters. We don't care about the rate of change in the U.S. capital account or the trade balance. None of that matters,” Hayes said.

"Tout ce qui nous intéresse, c'est de savoir s'il y a plus de dollars dans le système aujourd'hui qu'hier. C'est tout ce qui compte. Nous ne nous soucions pas du taux de changement dans le compte de capital américain ou de la balance commerciale. Rien de tout cela n'a d'importance", a déclaré Hayes.

The co-founder also touched upon the U.S. and China's performative trade diplomacy, which he said will likely culminate in a shallow deal as both sides are forced into cooperation.

Le co-fondateur a également abordé la diplomatie commerciale de performance des États-Unis et de la Chine, qui, selon lui, a probablement abouti à un accord peu profond car les deux parties sont contraints de coopérer.

“It's going to be a deal on the surface. Trump needs to be able to go back and say he was tough on China. Xi needs to be able to say that he stood up to the white man,” Hayes said.

"Ce sera un accord à la surface. Trump doit être en mesure de revenir en arrière et de dire qu'il était dur pour la Chine. Xi doit être en mesure de dire qu'il a résisté à l'homme blanc", a déclaré Hayes.

With tariffs proving politically risky, Hayes thinks the next move will be taxing foreign investment, a quiet form of capital control meant to reduce America's dependence on foreign buyers without spooking domestic voters. This is how you get the American people to swallow a realignment of trade.

Les tarifs se révélant politiquement risqués, Hayes pense que la prochaine décision taxera les investissements étrangers, une forme calme de contrôle des capitaux destiné à réduire la dépendance de l'Amérique à l'égard des acheteurs étrangers sans effrayer les électeurs nationaux. C'est ainsi que vous amenez le peuple américain à avaler un réalignement du commerce.

“The only real policy that actually works is capital controls. But would the American people stomach that?” he asked.

«La seule véritable politique qui fonctionne réellement est les contrôles des capitaux. Mais le peuple américain est-il l'estomac?» il a demandé.

Potentially, there are multiple tools on the table. Not just taxes on foreign-held Treasuries or equities, but more aggressive ideas like forced bond swaps, trading 10-year notes for 100-year paper, or higher withholding taxes on capital gains from U.S. assets.

Potentiellement, il existe plusieurs outils sur la table. Non seulement les taxes sur les bons du Trésor ou les actions à l'étranger, mais aussi des idées plus agressives comme les échanges d'obligations forcés, le négociation de billets de 10 ans pour un papier de 100 ans, ou la retenue supérieure à la retenue des impôts sur les gains en capital des actifs américains.

It's all part of a strategy to rebalance the financial account without forcing Americans to “buy less stuff,” a message he says no politician can sell.

Tout cela fait partie d'une stratégie pour rééquilibrer le compte financier sans forcer les Américains à «acheter moins de choses», un message qu'il dit qu'aucun politicien ne peut vendre.

“Americans don't like to do hard things. They don't want to be told that you have to consume less. They want to be told that we're going to pivot and that we're going to put capital controls on foreigners,” Hayes said.

"Les Américains n'aiment pas faire des choses difficiles. Ils ne veulent pas qu'on leur dise que vous devez consommer moins. Ils veulent qu'on leur dise que nous allons pivoter et que nous allons mettre des contrôles en capital sur les étrangers", a déclaré Hayes.

China, meanwhile, isn't going anywhere. Hayes says it has no choice but to keep buying U.S. assets even if it pretends otherwise.

La Chine, quant à elle, ne va nulle part. Hayes dit qu'il n'a pas d'autre choix que de continuer à acheter des actifs américains même s'il fait semblant le contraire.

“They have to obfuscate kind of how much stuff they're buying off of America. But if you're doing the math, they just can't stop.”

"Ils doivent obscurcir le type de choses qu'ils achètent de l'Amérique. Mais si vous faites le calcul, ils ne peuvent tout simplement pas s'arrêter."