Titre: Une chaîne d'événements récents semble avoir lancé ces derniers temps de l'administration Javier Milei.

Une chaîne d'événements récents semblent avoir lancé ces derniers temps de l'administration Javier Milei. Juste au moment où il semblait que le gouvernement était sur le point de consolider son hégémonie socio-politique

The Javier Milei administration has hit a snag in its plans, encountering three setbacks that could jeopardize the administration's agenda. These setbacks are Donald Trump’s win of the US presidency, the crypto 'rug pull' by Hayden Davis and Milei's decision to follow Trump.

L'administration Javier Milei a frappé un problème dans ses plans, rencontrant trois revers qui pourraient compromettre l'ordre du jour de l'administration. Ces revers sont la victoire de Donald Trump sur la présidence américaine, le «tir du tapis» de la cryptographie par Hayden Davis et la décision de Milei de suivre Trump.

While the political affinity between the two presidents is undeniable, despite deep ideological contradictions, there may be a palpable objective behind Milei’s extreme pragmatism: securing a deal with the International Monetary Fund that becomes the pillar of a potent victory in this year’s midterm elections.

Bien que l'affinité politique entre les deux présidents soit indéniable, malgré de profondes contradictions idéologiques, il peut y avoir un objectif palpable derrière le pragmatisme extrême de Milei: conclure un accord avec le fonds monétaire international qui devient le pilier d'une puissante victoire lors des élections à mi-parcours de cette année.

Milei and Economy Minister Luis ‘Toto’ Caputo have repeatedly promised that the deal is close. The latest major announcement came at his controversial address to the Legislative Assembly kicking the congressional term. Following the lead of the United States, Milei attempted to make it a “State of the Union” address, changing the time of his speech from the traditional mid-morning to nighttime, which is prime time for television. He also decided to hold the event on a Saturday in the middle of an “extra long” weekend, with two bank holidays for carnival. TV ratings were quite poor, oscillating between 13 and 17 rating points, compared to peaks of 50 points during last year’s visit to Congress.

Milei et le ministre de l'économie Luis Luis 'Toto' Caputo ont promis à plusieurs reprises que l'accord était proche. La dernière annonce majeure est venue à son discours controversé à l'Assemblée législative qui a lancé le terme du Congrès. Après l'exemple des États-Unis, Milei a tenté d'en faire un discours «État de l'union», changeant le moment de son discours du milieu de matinée traditionnel à la nuit, qui est le temps de grande écoute pour la télévision. Il a également décidé de organiser l'événement un samedi au milieu d'un week-end «extra long», avec deux jours fériés pour le carnaval. Les notes de télévision étaient assez médiocres, oscillant entre 13 et 17 points de notation, contre 50 points lors de la visite de l'année dernière au Congrès.

And while he made the big announcement, it was another issue that attracted the public attention: the public showdown between his star political advisor, freelancer Santiago Caputo, and national deputy Facundo Manes. While a major part of the opposition declined the president’s invitation to participate, including the Unión Cívica Radical (UCR), Manes attended the Assembly and spent a significant portion of time responding to Milei’s speech by yelling from his seat while exhibiting an issue of the Constitution. This won him the ire of Caputo, who was already under fire for some recent missteps. The “Kremlin Magician,” as he’s come to be known, later faced off with Manes in the halls of Congress. In front of several smartphone cameras, he gave him a couple of taps on the chest after touching his face in a patronising, semi-threatening manner. Manes later said he had been physically threatened by “Argentina’s most powerful person.”

Et bien qu'il ait fait la grande annonce, c'est un autre problème qui a attiré l'attention du public: l'épreuve de force publique entre son conseiller politique vedette, le pigiste Santiago Caputo, et les Manes adjoints nationaux. Alors qu'une grande partie de l'opposition a refusé l'invitation du président à participer, y compris le radical Unión Cívica (UCR), Manes a assisté à l'assemblée et a passé une partie importante du temps à répondre au discours de Milei en criant de son siège tout en présentant une question de la Constitution. Cela lui a valu la colère de Caputo, qui était déjà sous le feu pour des faux pas récents. Le «magicien du Kremlin», comme il est connu, a ensuite été confronté à Manes dans les couloirs du Congrès. Devant plusieurs caméras de smartphone, il lui a donné quelques robinets sur la poitrine après avoir touché son visage d'une manière condescendant et semi-menacée. Mans a dit plus tard qu'il avait été physiquement menacé par «la personne la plus puissante de l'Argentine».

Whether Manes, who is a famous neuroscientist and author, purposefully sought to lure Milei and Caputo into a trap, or whether he was truly protesting the president’s speech is unimportant. It’s a challenge to the president’s political centrality that drew from a message which sought to build fortitude by announcing a deal that would help the libertarians win the midterm elections. And it’s one more challenge, or error, from the three vertices of the “iron triangle” that run the show: Caputo, Presidential Chief-of-Staff Karina Milei and the President himself.

Que Manes, qui est un neuroscientifique et auteur célèbre, a délibérément cherché à attirer Milei et Caputo dans un piège, ou s'il protestait vraiment sans importance du discours du président. C'est un défi pour la centralité politique du président qui a tiré un message qui a cherché à renforcer le courage en annonçant un accord qui aiderait les libertaires à remporter les élections à mi-parcours. Et c'est un autre défi, ou erreur, des trois sommets du «Triangle de fer» qui dirige le spectacle: Caputo, le chef de la présidentiel Karina Milei et le président lui-même.

Another such challenge came from Grupo Clarín, the country’s largest and most powerful media group, which pulled a rabbit out of a hat in the form of the acquisition of the Argentine assets of Spanish telecoms giant Telefónica.

Un autre défi de ce type est venu de Grupo Clarín, le plus grand groupe de médias le plus grand et le plus puissant du pays, qui a tiré un lapin d'un chapeau sous la forme de l'acquisition des actifs argentins du géant des télécommunications espagnol Telefónica.

From its media outlets, Grupo Clarín had proven a circumstantial ally of the Milei administration, with some of its prime-time stars being amongst the select group that is allowed on the record access to the President, including journalist Jonatan Viale. Progressively, though, it started to toughen its stance, in tandem with the acceleration of the operation to acquire Telefónica Argentina through Telecom, potentially generating a 70-percent concentration in the telecommunications sector that would undoubtedly raise objections, particularly from regulator ENACOM.

À partir de ses médias, Grupo Clarín avait prouvé un allié circonstanciel de l'administration Milei, certaines de ses stars aux heures de grande écoute étant parmi le groupe restreint qui est autorisé sur l'accès record au président, y compris le journaliste Jonatan Vile. Progressivement, cependant, il a commencé à durcir sa position, en tandem avec l'accélération de l'opération pour acquérir Telefónica Argentine par le biais de télécommunications, générant potentiellement une concentration de 70% dans le secteur des télécommunications qui augmenterait sans aucun doute des objections, en particulier à partir de l'enacom du régulateur.

From one day to the next, Telecom — which is owned by Grupo Clarín and Mexican investor David Martínez — announced the deal was closed for US$1.245 billion, that the funds had already been deposited and that possession would be taken the following day. It caught the government off-guard, forcing Milei to put out a press release indicating the monopolistic tendencies in the telecommunications market would be reviewed. He then took to social media and public appearances to go on the offensive against Grupo Clarín, noting that it had always inked shady deals with different governments at the expense of the people. He effectively declared war on Clarín.

D'un jour à l'autre, les télécommunications - qui appartiennent à Grupo Clarín et à l'investisseur mexicain David Martínez - a annoncé que l'accord avait été conclu pour 1,245 milliard de dollars, selon lequel les fonds avaient déjà été déposés et que la possession serait prise le lendemain. Il a attiré le gouvernement au dépourvu, forçant Milei à publier un communiqué de presse indiquant que les tendances monopolistiques sur le marché des télécommunications seraient examinées. Il s'est ensuite rendu sur les réseaux sociaux et les apparitions publiques pour aller à l'offensive contre Grupo Clarín, notant qu'il avait toujours signé des accords louches avec différents gouvernements au détriment du peuple. Il a effectivement déclaré la guerre à Clarín.

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Interestingly, Milei seemed to be contradicting his recent economic argument against the concept of market failure and in favour of monopolies. One that he continues to defend when it comes to the $LIBRA memecoin scandal, where Milei shows no remorse for the hundreds of millions of dollars that were siphoned-off by Hayden Davis and his associates via sniping and insider trading that he enabled. Market failure only exists when it’s in the benefit of the government, it seems.

Fait intéressant, Milei semblait contredire son récent argument économique contre le concept d'échec du marché et en faveur des monopoles. Celui qu'il continue de défendre en ce qui concerne le scandale de $ Balance Memecoin, où Milei ne montre aucun remords pour les centaines de millions de dollars qui ont été siphonnés par Hayden Davis et ses associés via Sniping et le trading d'initiés qu'il a permis. L'échec du marché n'existe que lorsqu'il est au profit du gouvernement, semble-t-il.

Yet, it remains unclear why Clarín and Milei have decided to clash head on. For the media juggernaut, it must know something everyone else doesn’t – it seems to be

Pourtant, on ne sait pas pourquoi Clarín et Milei ont décidé de s'affronter de front. Pour le mastodonte des médias, il doit savoir quelque chose que tout le monde n'est pas - il semble que ce soit