Les États-Unis et le Canada dominent l'exploitation mondiale du bitcoin

Ce dernier rapport de Cambridge Center for Alternative Finance confirme que les États-Unis et le Canada dominent l'exploitation mondiale du bitcoin, contrôlant collectivement plus de 80% de l'activité signalée.

The latest report from the Cambridge Centre for Alternative Finance (CCAF) has revealed that the United States and Canada are home to the majority of bitcoin mining activity, with the two countries together controlling over 80% of the reported activity.

Le dernier rapport du Cambridge Center for Alternative Finance (CCAF) a révélé que les États-Unis et le Canada abritent la majorité de l'activité minière du bitcoin, les deux pays, contrôlant ensemble plus de 80% de l'activité signalée.

According to the latest CCAP survey findings, the U.S. is the largest global mining hub, handling 75.4% of reported activity.

Selon les derniers résultats de l'enquête CCAP, les États-Unis sont le plus grand centre minier mondial, gérant 75,4% de l'activité signalée.

Canada followed in a distant second place with 7.1% of the activity, which may indicate that mining companies are largely concentrated in North America.

Le Canada a suivi une deuxième place éloignée avec 7,1% de l'activité, ce qui peut indiquer que les sociétés minières sont largement concentrées en Amérique du Nord.

The survey findings also revealed that 98% of respondents’ power capacity is dedicated to bitcoin mining.

Les résultats de l'enquête ont également révélé que 98% de la capacité d'énergie des répondants est consacrée à l'exploitation bitcoin.

However, the report’s summary does acknowledge possible bias in the findings, and it’s worth noting that the figures may not fully represent the overall activity.

Cependant, le résumé du rapport reconnaît les biais possibles dans les résultats, et il convient de noter que les chiffres peuvent ne pas représenter pleinement l'activité globale.

Despite this, the survey findings “reveals directionally relevant developments,” including emerging activity in South America and the Middle East. Until mid-2021, China was widely recognized as the No. 1 bitcoin mining country. However, a crackdown against this activity forced some mining companies to relocate to neighboring countries and, in some cases, to the U.S.

Malgré cela, les résultats de l'enquête «révèlent des développements pertinents directionnels», y compris l'activité émergente en Amérique du Sud et au Moyen-Orient. Jusqu'à la mi-2021, la Chine était largement reconnue comme le pays minier n ° 1 du Bitcoin. Cependant, une répression contre cette activité a forcé certaines sociétés minières à déménager dans les pays voisins et, dans certains cas, aux États-Unis

As reported by Bitcoin.com News in 2022, while the crackdown did impact miners’ operations, it did not result in China immediately losing its position as one of the top bitcoin mining countries. The report suggested that miners had resorted to using virtual private networks (VPN) to conceal their location from authorities.

Comme indiqué par Bitcoin.com News en 2022, bien que la répression a eu un impact sur les opérations des mineurs, il n'a pas fait perdre immédiatement sa position en tant que l'un des meilleurs pays minières de Bitcoin. Le rapport suggère que les mineurs avaient eu recours à l'utilisation de réseaux privés virtuels (VPN) pour cacher leur emplacement aux autorités.

When China started cracking down against bitcoin miners, some reports indicated that this was being done in part to help the country achieve President Xi Jinping’s goal of carbon neutrality within four decades. The crackdown, along with pressure from climate activists, forced bitcoin mining to prioritize clean and renewable energy sources.

Lorsque la Chine a commencé à sévir contre les mineurs de Bitcoin, certains rapports ont indiqué que cela se faisait en partie pour aider le pays à atteindre l'objectif du président Xi Jinping de neutralité au carbone dans les quatre décennies. La répression, ainsi que la pression des militants du climat, ont forcé l'exploitation de Bitcoin pour hiérarchiser les sources d'énergie propre et renouvelable.

Now, more than three years later, the latest CCAF survey findings indicate that miners’ electricity mix is predominantly sustainable (52.4%)

Maintenant, plus de trois ans plus tard, les derniers résultats de l'enquête de l'ACC indiquent que le mélange d'électricité des mineurs est principalement durable (52,4%)

“The survey indicates that miners’ electricity mix is predominantly sustainable (52.4%), with renewables accounting for 42.6%. Hydropower constitutes the largest sustainable source (23.4%), followed by wind (15.4%), nuclear (9.8%), solar (3.2%), and other renewables (0.5%). Fossil fuels make up 47.6%, primarily natural gas (38.2%), which is also the single largest energy source, followed by coal (8.9%) and oil (0.5%),” the CCAF report stated.

«L'enquête indique que la combinaison d'électricité des mineurs est principalement durable (52,4%), avec des énergies renouvelables représentant 42,6%. L'hydroélectricité constitue la plus grande source durable (23,4%), suivie par le vent (15,4%), le nucléaire (9,8%), le solaire (3,2%), et d'autres acteurs renouvelables (0,5%). est également la plus grande source d'énergie, suivie du charbon (8,9%) et du pétrole (0,5%) », a indiqué le rapport de l'ACC.

The survey data also revealed that the annualized electricity consumption associated with bitcoin mining in 2023 is estimated at 138 terawatt-hours, which represents a 17% increase year over year and about 0.54% of global electricity consumption.

Les données de l'enquête ont également révélé que la consommation d'électricité annualisée associée à l'extraction de Bitcoin en 2023 est estimée à 138 térawattheures, ce qui représente une augmentation de 17% d'année en année et environ 0,54% de la consommation mondiale d'électricité.

CCAF noted that bitcoin miners in the survey reported a median electricity cost of $45 per megawatt-hour and “an all-in cost of $55.50 per megawatt-hour, with electricity constituting more than 80% of their cash-based operational expenses.”

L'ACCA a noté que les mineurs de Bitcoin dans l'enquête ont déclaré un coût d'électricité médian de 45 $ par mégawatt-heure et «un coût tout-in de 55,50 $ par mégawatt-heure, avec l'électricité constituant plus de 80% de leurs dépenses opérationnelles basées sur la trésorerie.»

Meanwhile, the CCAF survey data revealed that 98% of respondents’ power capacity is dedicated to bitcoin mining. Still, the survey report acknowledges that the bitcoin mining industry is at a “critical juncture,” and unless it starts to diversify, it is headed for even dire times.

Pendant ce temps, les données de l'enquête CCAF ont révélé que 98% de la capacité d'énergie des répondants est consacrée à l'exploitation bitcoin. Pourtant, le rapport d'enquête reconnaît que l'industrie minière du bitcoin est à un «moment critique», et à moins qu'elle ne commence à se diversifier, elle se dirige encore des moments désastreux.

“Diversification into high-growth sectors like HPC serving computationally intense AI workloads, leveraging existing infrastructure, is emerging as a key adaptive strategy,” the report explains.

«La diversification dans des secteurs à forte croissance comme le HPC servant des charges de travail d'IA intenses en calcul, tirant parti de l'infrastructure existante, émerge comme une stratégie adaptative clé», explique le rapport.

The CCAF identifies innovative energy solutions like using flared natural gas, recovering waste heat, and demand-side response as some of the ways miners can deal with dwindling mining revenues. Hashprice hedging could also help manage financial risks in the future, similar to how energy price hedging is already a key risk mitigation strategy, the report added.

Le CCAF identifie des solutions énergétiques innovantes comme l'utilisation du gaz naturel évasé, la récupération de la chaleur des déchets et la réponse côté demande comme certaines des façons dont les mineurs peuvent gérer les revenus miniers en baisse. La couverture de Hashprice pourrait également aider à gérer les risques financiers à l'avenir, similaire à la façon dont la couverture des prix de l'énergie est déjà une stratégie clé d'atténuation des risques, a ajouté le rapport.