Les jetons de sommeil brisent les attentes sur la flexion effrontée des genres «même en Arcadia»

Le type de succès de nuit dans lequel l'album de Sleep Token en 2023 `` Take Me Back to Eden '' s'est mis en mouvement n'arrive plus aux groupes de rock et de métal.

The type of overnight success that Sleep Token’s 2023 album ‘Take Me Back To Eden’ set in motion simply doesn’t happen to rock and metal bands anymore. In terms of the speed and scale of this phenomenon, they have no 21st-century equal in their genre. Set to headline Download Festival next month, before an autumn US arena tour that sold out instantly, they’ve arguably dethroned new RCA labelmates Bring Me The Horizon as the hottest alternative band in the world right now.

Le type de succès de nuit dans lequel l'album de Sleep Token en 2023 `` Take Me Back to Eden '' s'est mis en mouvement n'arrive plus aux groupes de rock et de métal. En termes de vitesse et d'échelle de ce phénomène, ils n'ont aucun égal au 21e siècle dans leur genre. Prévu sur le festival de téléchargement des titres le mois prochain, avant une tournée d'automne US Arena qui s'est vendue instantanément, ils ont sans doute détrôné les nouveaux camarades de label RCA m'apportent l'horizon en tant que groupe alternatif le plus chaud du monde en ce moment.

Faced with the pressure of following ‘Take Me Back To Eden’, the anonymous four-piece responded in March with a seemingly familiar comeback single in ‘Emergence’. That’s until they slapped an extended jazz outro on the end, reminding everyone of the unpredictability that would continue to define their next era. Shortly after, follow-up track ‘Caramel’ gatecrashed the UK Top 10, somehow finding a way to lure its reggaeton-infused beat towards a pulverising black metal jumpscare. The soul-stirring ‘Damocles’ also broke the Top 30, highlighting just how deeply Sleep Token have penetrated the mainstream in the lead-up to fourth album ‘Even In Arcadia’.

Face à la pression de suivre `` Rake Me Back to Eden '', le quatre pièces anonymes a répondu en mars avec un single de retour apparemment familier dans «Emergence». C'est jusqu'à ce qu'ils aient giflé un outro jazz étendu à la fin, rappelant à chacun l'imprévisibilité qui continuerait à définir leur prochaine époque. Peu de temps après, la piste de suivi `` Caramel '' a réduit le Top 10 du Royaume-Uni, trouvant en quelque sorte un moyen d'attirer son battement infusé à la réggaeton vers un Jumpscare de Black Metal Pulvering. Les `` Damocles '' époustouflants de l'âme ont également brisé le top 30, soulignant à quel point le jeton profondément du sommeil a pénétré le courant dominant dans la tête du quatrième album «Même en Arcadia».

That record should continue the British band’s ascent to the top of the rock world, without compromising on any of what makes them so exciting. Eight-minute opener ‘Look To Windward’ could be an entire album in itself. It sets up the crossroads ahead with its unbearable, cinematic tension, which is then annihilated by a heaviness that chops through it like an executioner’s axe. Its unsettling lyrics grapple with impending doom and the inevitable cycle of life (“Coughing up blood in the twilight / Everything looks the same”), also properly introducing key pieces of lore: House Veridian and Feathered Host (“I live by the feather / And die by the sword”).

Ce record devrait poursuivre l'ascension du groupe britannique jusqu'au sommet du monde du rock, sans compromettre sur ce qui les rend si excitants. L'ouvreur de huit minutes `` Look to Windward '' pourrait être un album entier en soi. Il met en avant le carrefour avec sa tension cinématographique insupportable, qui est ensuite anéanti par une lourdeur qui le traverse comme la hache d'un bourreau. Ses paroles troublantes sont confrontées à un malheur imminent et au cycle inévitable de la vie («tousser le sang dans le crépuscule / tout a la même apparence»), introduisant également correctement les éléments clés de la tradition: la maison Veridian et l'hôte à plumes («I Live by the Feather / and Die by the Sword»).

Sleep Token’s rise hasn’t been without some strife, something they broach on this album. ‘Caramel’ and ‘Damocles’ grant us access to the troubled human behind bandleader Vessel, the former tackling the invasive fan toxicity that’s grown with their success head-on (bassist III’s birth certificate was allegedly leaked last January). Artistically and lyrically bold, it sugarcoats precious little (“The stage is a prison… Terrified to open my front door”) compared to the lyrical grey area which Sleep Token usually occupy.

L'ascension de Sleep Token n'a pas été sans quelques conflits, quelque chose qu'ils abordent sur cet album. `` Caramel '' et `` Damocles '' nous accordent un accès à l'humain troublé derrière le navire de chef d'orchestre, le premier s'attaquant à la toxicité invasive des fans qui a grandi avec leur succès de front (le certificat de naissance du bassiste III aurait été divulgué en janvier dernier). Sur le plan artistique et lyrique, il est en sucreur précieux peu («La scène est une prison… terrifiée pour ouvrir ma porte d'entrée») par rapport à la zone gris lyrique qui somnole généralement.

Vessel spits equally blunt truths over twinkling R&B cut ‘Past Self’, which exemplifies how piano and synth melodies help dictate the tone of ‘Even In Arcadia’ – there’s no need for dominant guitar riffs like ‘Hypnosis’ or ‘The Offering’ this time around. Similarly, the divine title track answers the sheet music riddle – and it’s straight out of the Game Of Thrones score, carrying the hallmarks of some sort of critical judgement day for Vessel. We hear him momentarily roar for the first time, perhaps finally owning the image of the deity he’s been built up to be (“I am the final God”).

Les navires crachent des vérités tout aussi émoussées sur le scintillement du R&B, le «Self» passé », ce qui illustre comment les mélodies de piano et de synthé aident à dicter le ton de` `même en Arcadia '' - il n'y a pas besoin de riffs de guitare dominants comme« l'hypnose »ou de l'offrande` `` `'' ce temps-là. De même, la piste de titre divine répond à l'énigme des partitions - et c'est tout droit sorti de la partition de Game of Thrones, portant les caractéristiques d'une sorte de jour de jugement critique pour les navires. Nous l'entendons momentanément rugir pour la première fois, peut-être finalement propriétaire de l'image de la divinité qu'il a été construite pour être («Je suis le Dieu final»).

Across 15 minutes of ‘Gethsemane’ and ‘Infinite Baths’, Sleep Token get even weirder. Like some of the genre-bending on ‘Take Me Back To Eden’, the former weaves between math-rock, stadium-rock and trap, while the latter’s utopian imagery is being battered by pounding blackgaze and doom metal, tearing the end of the album away from Arcadia and into the unknown.

Sur 15 minutes de «Gethsemane» et de «bains infinis», le token de sommeil devient encore plus étrange. Comme certains des genres qui se balancent sur `` Take Me Back to Eden '', le premier tisse entre Math-Rock, Stadium-Rock et Trap, tandis que l'imagerie utopique de la dernière est battue par Blackgaze et Doom Metal, déchirant la fin de l'album d'Arcadia et dans l'inconnu.

‘Even In Arcadia’ shatters any pressure of expectation into oblivion, building on the bravery of its predecessor, sonically, while its lyrics reveal the most exposed version of Vessel we’ve seen yet. From Eden to Arcadia – and beyond – let the worship continue.

`` Même en Arcadia '' brise toute pression d'attente dans l'oubli, s'appuyant sur la bravoure de son prédécesseur, sur le plan sonore, tandis que ses paroles révèlent la version la plus exposée du navire que nous ayons encore vu. D'Eden à Arcadia - et au-delà - laissez le culte continuer.