L'adieu de Warren Buffett en tant que PDG de Berkshire Hathaway se termine par un paradoxe qui se répercutera sur les marchés du bitcoin

Quelques instants après que «l'Oracle d'Omaha», âgé de 94 ans, a confirmé que le vice-président Greg Abel assumera le premier emploi

Despite stepping down as chief executive of Berkshire Hathaway (NYSE:) after 83 years with the firm, and 70 years investing in public markets, legendary investor Warren Buffett had one final paradox to share with shareholders at the annual meeting on Saturday.

Bien qu'il ait démissionné de ses fonctions de directeur général de Berkshire Hathaway (NYSE :) après 83 ans avec l'entreprise, et 70 ans d'investissement sur les marchés publics, l'investisseur légendaire Warren Buffett avait un dernier paradoxe à partager avec les actionnaires lors de la réunion annuelle samedi.

After eight decades of transforming a floundering textile mill into a $1.16 trillion conglomerate, the 94-year-old “Oracle of Omaha” is handing over the reins to vice-chairman Greg Abel when 2025 draws to a close.

Après huit décennies de transformation d'un moulin textile pataugeant en un conglomérat de 1,16 billion de dollars, «l'Oracle d'Omaha», âgé de 94 ans, remet les rênes au vice-président Greg Abel lorsque 2025 touche à sa fin.

But moments after confirming that macroeconomic cycles and the role of government money will remain closely linked in his retirement, the world’s most celebrated value investor delivered a sweeping warning about the long-term corrosion of government money—an argument that, stripped of its author’s intent, reads like a précis of the Bitcoin thesis.

Mais quelques instants après avoir confirmé que les cycles macroéconomiques et le rôle de l'argent du gouvernement resteront étroitement liés à sa retraite, l'investisseur de valeur le plus célèbre du monde a prononcé un avertissement radical sur la corrosion à long terme de l'argent du gouvernement - un argument qui, dépouillé de l'intention de son auteur, se lit comme un précis de la thèse de bitcoin.

From the stage in Omaha’s CHI Health Center, Buffett said that the greatest threat to capital is not a bear market or a recession but “the tendency of a government to want to debase its currency over time.”

Depuis la scène du Centre de santé de Chi d'Omaha, Buffett a déclaré que la plus grande menace pour le capital n'est pas un marché baissier ou une récession, mais "la tendance d'un gouvernement à vouloir dégrader sa monnaie au fil du temps".

“If you’ve got people that control the currency, you can issue a paper money and you will,” he said, adding that “the natural course of government is to make the currency worth less over time, and that’s got important consequences.” He concluded that “we wouldn’t want to be owning anything that we thought was in a currency that was really going to hell.”

"Si vous avez des gens qui contrôlent la monnaie, vous pouvez émettre un papier-monnaie et vous le ferez", a-t-il dit, ajoutant que "le cours naturel du gouvernement est de rendre la devise moins au fil du temps, et cela a des conséquences importantes." Il a conclu que «nous ne voudrions pas posséder quoi que ce soit que nous pensions dans une monnaie qui allait vraiment en enfer.»

Those sentences, delivered without reference to Bitcoin, nevertheless ricocheted through crypto X within seconds. Pseudonymous BTC commentator Carl Menger interpreted them as an inadvertent endorsement of a non-sovereign alternative, writing that Buffett “suggests it might be wise ‘to own a lot of other currencies’ besides the US Dollar. Almost like a decentralized, non-sovereign currency could fix this.”

Ces phrases, livrées sans référence au bitcoin, ont néanmoins ricoché via Crypto X en quelques secondes. Le commentateur pseudonyme de la BTC, Carl Menger, les a interprétés comme une approbation par inadvertance d'une alternative non souverain, écrivant que Buffett «suggère qu'il pourrait être sage« de posséder beaucoup d'autres devises »en plus du dollar américain. Comme une monnaie décentralisée et non soveregn pourrait résoudre ce problème.»

Menger then quipped that the nonagenarian “still can’t grasp the value of Bitcoin and rather stacks other fiat Shitcoins.”

Menger a ensuite plaisanté sur le fait que le nonagénaire «ne peut toujours pas saisir la valeur du bitcoin et empile plutôt d'autres shitcoins Fiat».

MicroStrategy (NASDAQ:) executive chairman Michael Saylor—who in 2023 said, “Bitcoin is the answer to the question that mystifies Warren Buffett” —renewed the critique on Saturday, branding Berkshire “20th Century Bitcoin.” The contrast is stark: while Berkshire’s cash pile has swollen to $347.7 billion at the end of Q1 2025, up from $334.2 billion three months earlier, Saylor has been converting every spare corporate dollar into BTC.

Microstrategy (NASDAQ :) Le président exécutif Michael Saylor - qui en 2023 a déclaré: «Bitcoin est la réponse à la question qui mystifie Warren Buffett» - a renoncé à la critique samedi, marquant le Berkshire «20e siècle Bitcoin». Le contraste est austère: alors que la tasse de trésorerie de Berkshire a gonflé à 347,7 milliards de dollars à la fin du premier trimestre 2025, contre 334,2 milliards de dollars trois mois plus tôt, Saylor a converti chaque dollar d'entreprise de rechange en BTC.

Buffett’s decision to sit on a record hoard signals that, in his view, equity valuations remain unappetizing; for Bitcoin advocates, it is further proof that fiat liquidity is best redeployed into hard digital assets rather than idling in Treasuries and T-bills.

La décision de Buffett de s'asseoir sur un record signale que, à son avis, les évaluations des actions restent peu appétissantes; Pour les défenseurs de Bitcoin, il est encore une preuve que la liquidité Fiat est mieux redéployée dans des actifs numériques durs plutôt que du ralenti dans les bons du Trésor et les Bills en T.

Yet “the catch” is that Buffett’s philosophical alignment with monetary debasement hawks does not alter his personal verdict on Bitcoin. He still regards the asset with unalloyed contempt. In 2018 he famously called it “probably rat poison squared.”

Pourtant, «The Catch» est que l'alignement philosophique de Buffett avec les Hawks de son débassement monétaire ne modifie pas son verdict personnel sur le bitcoin. Il considère toujours l'actif avec un mépris non allié. En 2018, il l'a appelé «probablement un poison de rat au carré».

In 2020 he told CNBC that cryptocurrencies have “no value and they don’t produce anything,” and at the 2022 shareholder meeting he declared he would not buy the entire Bitcoin supply for $25 because “it isn't going to do anything.” Saturday’s stagecraft did nothing to soften those views; the man who transformed a floundering textile mill into a $1.16 trillion conglomerate remains committed to productive enterprises over digitally scarce commodities.

En 2020, il a déclaré à CNBC que les crypto-monnaies n'avaient «aucune valeur et qu'elles ne produisent rien», et lors de la réunion des actionnaires de 2022, il a déclaré qu'il n'achèterait pas l'intégralité de l'offre de Bitcoin pour 25 $ parce que «cela ne fera rien». La mise en scène de samedi n'a rien fait pour adoucir ces vues; L'homme qui a transformé une usine textile pataugeant en un conglomérat de 1,16 billion de dollars reste attachée à des entreprises productives sur des produits de base numériquement rares.

At press time, BTC traded at $94,629.

Au moment de la presse, BTC s'est échangé à 94 629 $.