Jeremy Jordan-Jones, fondatrice de soi de la startup Crypto maintenant disparue Amalgam, accusé de fraude

Les procureurs ont inculpé Jeremy Jordan-Jones, le fondateur de soi d'une startup de cryptographie maintenant disparue appelée Amalgam, avec une fraude, alléguant qu'il avait escroqué les investisseurs

output: A startup founder who allegedly deceived investors in his “sham blockchain” venture, siphoning over $1 million to fund a lavish lifestyle, has been charged with fraud by prosecutors.

Production: Un fondateur de startup qui aurait trompé les investisseurs dans son entreprise «Shamchain», siphonnant plus d'un million de dollars pour financer un mode de vie somptueux, a été accusé de fraude par les procureurs.

Jeremy Jordan-Jones, 35, is accused of defrauding investors in Amalgam, a cryptocurrency startup that is now defunct, with the money allegedly used to pay for a luxurious lifestyle that included stays at "high-end hotels and restaurants in Miami," car payments and designer clothing, according to court documents.

Jeremy Jordan-Jones, 35 ans, est accusée de frauder des investisseurs dans Amalgame, une startup de crypto-monnaie qui est maintenant disparue, avec l'argent qui prétendument utilisé pour payer un style de vie luxueux qui comprenait des séjours dans "des hôtels haut de gamme et des restaurants à Miami", des paiements de voitures et des vêtements de conception, selon les documents judiciaires.

Among the investors was a venture capital firm, identified in a 2022 Forbes article as Brown Venture Group, which invested $500,000 in Amalgam.

Parmi les investisseurs figurait une société de capital-risque, identifié dans un article de Forbes en 2022 en tant que Brown Venture Group, qui a investi 500 000 $ dans Amalgame.

Jordan-Jones is alleged to have touted Amalgam as a rapidly-growing tech company that created blockchain-based point-of-sale payment systems, which had multi-million-dollar partnerships with sports teams including the Golden State Warriors and a professional soccer team in England’s Premier League, as well as a big restaurant conglomerate with over 500 restaurants.

Jordan-Jones aurait présenté Amalgame comme une entreprise technologique à croissance rapide qui a créé des systèmes de paiement de points de vente basés sur la blockchain, qui disposait de partenariats de plusieurs millions de dollars avec des équipes sportives, notamment les Golden State Warriors et une équipe de football professionnel en Premier League en Angleterre, ainsi qu'un grand conglomérat de restauration avec plus de 500 restaurants.

However, these partnerships never existed, and Jordan-Jones allegedly lied to investors about the startup’s progress and the purpose of their investments.

Cependant, ces partenariats n'ont jamais existé, et Jordan-Jones aurait menti aux investisseurs sur les progrès de la startup et le but de leurs investissements.

According to prosecutors, Jordan-Jones would also allegedly tell investors that his goal was to list Amalgam’s non-existent crypto token on a crypto exchange, and that he needed their money to do so.

Selon les procureurs, Jordan-Jones aurait également dit aux investisseurs que son objectif était d'énumérer le jeton de crypto inexistant d'Amalgame sur un échange de crypto et qu'il avait besoin de leur argent pour le faire.

But in actuality, prosecutors claim that Jordan-Jones used the money to pay for his personal expenses, including "high-end hotels and restaurants in Miami, clothing from high-end designers, and a Mercedes-Benz E450 Coupe."

Mais en réalité, les procureurs affirment que Jordan-Jones a utilisé l'argent pour payer ses dépenses personnelles, y compris "des hôtels et restaurants haut de gamme à Miami, des vêtements de designers haut de gamme et un coupé Mercedes-Benz E450".

Prosecutors also said that Jordan-Jones provided falsified documents to a financial institution, which he used to fraudulently obtain a corporate credit card, racking up a $350,000 balance before the bank closed his account.

Les procureurs ont également déclaré que Jordan-Jones avait fourni des documents falsifiés à une institution financière, qu'il a utilisé pour obtenir frauduleusement une carte de crédit d'entreprise, accumulant un solde de 350 000 $ avant que la banque ne ferme son compte.

Jordan-Jones has been charged with one count each of wire fraud, securities fraud, making false statements to a financial institution and aggravated identity theft — charges which carry a combined maximum sentence of 82 years in prison. The aggravated identity theft charge carries a mandatory minimum sentence of two years.

Jordan-Jones a été accusé d'un chef d'accusation de fraude par fil, de fraude en valeurs mobilières, faisant de fausses déclarations à une institution financière et d'un vol d'identité aggravé - des accusations qui portent une peine maximale combinée de 82 ans de prison. L'accusation de vol d'identité aggravée porte une peine minimale obligatoire de deux ans.

“Jordan-Jones, capitalizing on the publicity around blockchain technology, perpetrated a brazen scheme to defraud investors,” said U.S. Attorney Jay Clayton in a Tuesday press announcement. “He touted his company as a groundbreaking blockchain startup, backed by high-profile partnerships. In reality, Jordan-Jones’s company was a sham, and investors’ funds were siphoned off to bankroll his lavish lifestyle. This should be an example to would-be financial fraudsters that the women and men of the Southern District and the FBI are watching and to the investing public that fraudsters often use the promise of new technology to cloak their schemes.”

"Jordan-Jones, capitalisant sur la publicité autour de la technologie de la blockchain, a commis un programme effronté pour frauder les investisseurs", a déclaré l'avocat américain Jay Clayton dans une annonce de presse mardi. «Il a présenté son entreprise en tant que startup révolutionnaire de la blockchain, soutenue par des partenariats très médiatisés. En réalité, la société de Jordan-Jones était une imposture, et les fonds des investisseurs ont été siphonnés pour faire des fraudeurs financiers. Coupez leurs schémas. »