Trump Alliés, Sentiment anti-Crypto et un projet de loi sur la corruption: quel est le problème?

Un examen plus approfondi de l'intersection des alliés Trump, de la croissance du sentiment anti-Crypto et des projets de loi de corruption proposés visant à réglementer les actifs numériques et l'influence politique.

Hold onto your hats, folks! The world of crypto, politics, and potential corruption is colliding in a way that’s got everyone talking. From accusations of “Trump family crypto scams” to proposed legislation aiming to curb political exploitation of digital assets, it’s a wild ride.

Tenez vos chapeaux, les amis! Le monde de la crypto, de la politique et de la corruption potentielle entre en collision d'une manière qui a fait parler tout le monde. Des accusations de «escroqueries de cryptographie de la famille Trump» à la législation proposée visant à limiter l'exploitation politique des actifs numériques, c'est une balade folle.

Merkley's Crusade Against Crypto Corruption

Croisade de Merkley contre la corruption cryptographique

Senator Jeff Merkley (D-OR) is not pulling any punches. He's been on a mission, accusing Republicans of shielding what he calls “the Trump family crypto scam.” His proposed amendment, aimed at stopping federal officials from promoting or selling cryptocurrencies, was blocked, highlighting the increasing partisan divide over crypto regulation.

Le sénateur Jeff Merkley (D-Or) ne tire aucun coup de poing. Il a été en mission, accusant les républicains de protéger ce qu'il appelle «l'arnaque de la cryptographie de la famille Trump». Son amendement proposé, visant à empêcher les responsables fédéraux de promouvoir ou de vendre des crypto-monnaies, a été bloqué, mettant en évidence la fracture partisane croissante sur la réglementation de la cryptographie.

Merkley’s core argument? Elected officials shouldn’t be able to use digital assets to line their own pockets or sell influence. “No elected official should be able to run a crypto scheme to sell influence and enrich themselves,” he declared.

L'argument principal de Merkley? Les élus ne devraient pas être en mesure d'utiliser des actifs numériques pour tapisser leurs propres poches ou vendre de l'influence. "Aucun élu ne devrait être en mesure de gérer un programme de cryptographie pour vendre l'influence et s'enrichir", a-t-il déclaré.

Trump's Crypto Ventures: A Closer Look

Les entreprises crypto de Trump: un regard plus approfondi

Donald Trump's foray into the crypto world is raising eyebrows. After initially being anti-crypto, he did a 180 and launched multiple NFT collections that reportedly generated over $100 million. He even started accepting cryptocurrency donations. His campaign's promise to “end Biden’s war on crypto” seemed to resonate with younger voters, boosting his numbers among the 18-34 demographic.

L'incursion de Donald Trump dans le monde de la cryptographie soulève les sourcils. Après avoir initialement été anti-Crypto, il a fait 180 et a lancé plusieurs collections NFT qui auraient généré plus de 100 millions de dollars. Il a même commencé à accepter des dons de crypto-monnaie. La promesse de sa campagne de «mettre fin à la guerre de Biden contre la crypto» a semblé résonner avec les électeurs plus jeunes, stimulant ses chiffres parmi les 18-34 démographiques.

Trump also ventured into the crypto space with World Liberty Financial (WLFI) and the memecoin project TRUMP. Hosting a private dinner for the biggest $TRUMP buyers at his golf club – supporters who collectively spent $148 million on the memecoin– isn't helping dispel the critics.

Trump s'est également aventuré dans l'espace crypto avec World Liberty Financial (WLFI) et le projet Memecoin Trump. Organiser un dîner privé pour les plus grands acheteurs de $ Trump dans son club de golf - des supporters qui ont collectivement dépensé 148 millions de dollars pour le Memecoin - n'aide pas à dissiper les critiques.

Is This Even Legal?

Est-ce même légal?

Ethics experts are weighing in. Columbia Law professor Richard Briffault calls the situation

Les experts en éthique pèsent. Columbia Law Le professeur Richard Briffault appelle la situation