Titre: CZ nie les allégations de l'article du Wall Street Journal selon lequel il a agi comme intermédiaire entre WLF et Bilal bin Saqib

Changpeng «CZ» Zhao, le fondateur et ancien PDG de Binance, a nié les allégations d'un article publié par le Wall Street Journal

Changpeng “CZ” Zhao, the founder and former CEO of Binance, has shot down claims made by The Wall Street Journal that he acted as an intermediary between the World Liberty Financial (WLF) team and tech entrepreneur Bilal bin Saqib.

Changpeng «CZ» Zhao, le fondateur et ancien PDG de Binance, a fait valoir les affirmations de Wall Street Journal selon lesquelles il a agi comme intermédiaire entre l'équipe World Liberty Financial (WLF) et l'entrepreneur technologique Bilal bin Saqib.

The Journal article, titled “Crypto Opps, Family Ties And A Tech Mogul,” appeared to be focused on presenting an instance where diplomatic efforts by the Trump administration to foster closer ties with Pakistan were linked to the private crypto endeavors of a U.S. tech entrepreneur.

L'article du Journal, intitulé «Crypto Opps, Family Vies and a Tech Mogul», a semblé se concentrer sur la présentation d'un exemple où les efforts diplomatiques de l'administration Trump pour favoriser les liens plus étroits avec le Pakistan étaient liés aux efforts privés de crypto d'un entrepreneur technologique américain.

The article claimed that the WLF organization, which has ties to Trump’s family, was introduced to several foreign investors, including Bilal bin Saqib.

L'article a affirmé que l'organisation WLF, qui a des liens avec la famille de Trump, avait été présentée à plusieurs investisseurs étrangers, dont Bilal Bin Saqib.

However, taking to X, formerly known as Twitter, CZ put forth a different perspective. He asserted that he is not a fixer and had no role to play in bringing together World Liberty Financial and Saqib.

Cependant, en apportant sur X, anciennement connu sous le nom de Twitter, CZ a présenté une perspective différente. Il a affirmé qu'il n'était pas un fixateur et n'avait aucun rôle à jouer dans la réception de World Liberty Financial et Saqib.

“Another hit piece from the Wall Street Journal. They’re not doing journalism anymore. They’ve pretty much resorted to Cunningham’s Law, which is ironic, considering they’re trying to portray me in a negative light. But I think it’s clear to everyone what’s going on here. They’re trying to hit a narrative and they’re doing it maliciously,” said CZ.

"Une autre pièce à succès du Wall Street Journal. Ils ne font plus de journalisme. Ils ont à peu près remis en place à la loi de Cunningham, qui est ironique, étant donné qu'ils essaient de me représenter sous un jour négatif. Mais je pense que c'est clair pour tout le monde ce qui se passe ici. Ils essaient de frapper un récit et ils le font malveillante", a déclaré CZ.

Cunningham’s Law states that the best way to get the right answer on the Internet is not to ask a question; it’s to post the wrong answer.

La loi de Cunningham indique que la meilleure façon d'obtenir la bonne réponse sur Internet est de ne pas poser de question; C'est pour publier la mauvaise réponse.

“They’re focused on creating a narrative to put America against crypto. They’re the ones who want to keep the U.S. behind in this new technology. They’re the ones who want to see crypto banned in the U.S. They’re the ones who want to attack crypto, global crypto leaders, and the pro-crypto administration.”

"Ils se concentrent sur la création d'un récit pour mettre l'Amérique contre la crypto. Ce sont eux qui veulent garder les États-Unis dans cette nouvelle technologie. Ce sont eux qui veulent voir la cryptographie interdite aux États-Unis, ce sont eux qui veulent attaquer la crypto, les chefs de crypto mondiaux et l'administration procrypto."

CZ and the Journal have sparred before, notably when he criticized the publication for reporting that he had discussed allowing Trump to purchase a stake in Binance.US.

CZ et le Journal se sont affrontés auparavant, notamment lorsqu'il a critiqué la publication pour avoir signalé qu'il avait discuté de permettre à Trump d'acheter une participation dans Binance.us.