Sleep Token pourrait être le plus grand groupe de métal d'une génération. Ils sont aussi les plus inutiles

Sleep Token pourrait être le plus grand groupe de métal d'une génération. Depuis leur album Breakthrough 2023, ramenez-moi à Eden

Sleep Token might be the biggest metal band in a generation. Since their breakthrough 2023 album, Take Me Back to Eden, the masked, anonymous UK quartet has rocketed from midsize clubs to headlining major rock festivals. They have twice as many Spotify monthly listeners as Tool, a good enough antecedent for Sleep Token’s melodic and progressive sound. Their fall 2025 arena tour sold out in mere days. On May 9, they released their fourth album and first for RCA, Even in Arcadia, which is projected to land at No. 1 on the Billboard 200—a near-unprecedented feat for a band with metalcore origins.

Sleep Token pourrait être le plus grand groupe de métal d'une génération. Depuis leur album Breakthrough 2023, Take Me Back to Eden, le quatuor britannique anonyme masqué est passé des clubs de taille intermédiaire à des festivals de rock majeurs. Ils ont deux fois plus d'auditeurs mensuels de Spotify que l'outil, un son assez bon antécédent pour le son mélodique et progressif de Sleep Token. Leur tournée de l'arène de l'automne 2025 s'est vendue en quelques jours. Le 9 mai, ils ont sorti leur quatrième album et le premier pour RCA, même en Arcadia, qui devrait atterrir au n ° 1 du Billboard 200 - un exploit presque désagréable pour un groupe avec Metalcore Origins.

But Even in Arcadia is a metal album made by musicians who appear petrified of metal’s fundamental pleasures—screams, breakdowns, violence, riffs, exhilaration, exaltation. Instead, Sleep Token’s major-label debut mostly offers sanitized pop-rap with all the sexed-up verve of Droopy the dog. Their bumbling composite of generic pop and trendy metalcore is both schmaltzy and dull: a vacant wasteland where joy, excitement, and intrigue—sensations that all good metal and pop should evoke—go to die.

Mais même en Arcadia, un album de métal fait par des musiciens qui semblent pétrifiés des plaisirs fondamentaux de Metal - des crèmes, des pannes, de la violence, des riffs, de la joie de vivre, de l'exaltation. Au lieu de cela, les débuts en grande échelle de Sleep Token propose principalement une rampe pop désinfectée avec toute la verve sexuée de Droopy le chien. Leur composite maladroit de la pop générique et du métal à tendance est à la fois schmaltzy et terne: un friche vacante où la joie, l'excitation et l'intrigue - les saisations que tout bon métal et pop devraient évoquer - se mettent à mourir.

Much of Sleep Token’s confoundingly broad appeal hinges on their shtick. Their singer-songwriter, mononymously known as Vessel, hasn’t given an interview since 2018, refuses to speak onstage, and keeps his face painted black and covered by his mask. The band begins every Instagram caption with “behold,” refers to its singles as “offerings,” and calls live shows “rituals.” To many, this makes Sleep Token a magical enigma. To me, this is dumb as hell.

Une grande partie de l'attrait de Sleep Token est confondue sur leur shtick. Leur auteur-compositeur-interprète, mononymement connu sous le nom de navire, n'a pas donné d'interview depuis 2018, refuse de parler sur scène et garde son visage peint noir et couvert par son masque. Le groupe commence toutes les légendes Instagram avec «Behold», qualifie ses célibataires de «offrandes» et appelle des spectacles en direct «rituels». Pour beaucoup, cela fait du jeton de sommeil une énigme magique. Pour moi, c'est stupide comme l'enfer.

Previous Sleep Token albums were more firmly grounded in djent, a style of rhythmic metal characterized by polymetric chugs played on down-tuned eight-string guitars. Djent was pioneered at the turn of the century by Swedish extreme-metal scientists Meshuggah, then exploded in popularity worldwide in the early 2010s. Sleep Token aren’t so much innovating the form as they are plundering and prettifying artifacts from djent’s creative peak in 2013. Even in Arcadia’s sporadic metal sections can be traced back to Northlane’s cryptic post-metal djent, Issues’s rap-infused nu-djent, and After the Burial’s brutally groovy prog-djent. The difference is that Sleep Token’s approach is sleeker, softer, and more overtly commercial—an embodiment of the way the once-progressive sub-style has become, well, djentified for mass consumption in the 2020s.

Les albums de jetons de sommeil précédents étaient plus fermement ancrés à Djent, un style de métal rythmique caractérisé par des chugs polymétriques joués sur des guitares à huit cordes à huit tas. Djent a été lancé au tournant du siècle par des scientifiques suédois à l'extrême-métal Meshuggah, puis a explosé en popularité dans le monde entier au début des années 2010. Les jetons de sommeil ne sont pas tellement innovants que les artefacts de pillage et de prédiction des artefacts de Djent en 2013. Même dans les sections métalliques sporadiques d'Arcadia, peuvent être retracées au Nu-Djent cryptique post-metal de Northlane, le Rap-Djent du Rap-Djent de l'université. La différence est que l'approche de Sleep Token est plus élégante, plus douce et plus ouvertement commerciale - une incarnation de la façon dont le sous-style autrefois progressif est devenu, bien, djentifié pour la consommation de masse dans les années 2020.

Pick any one of their arena-metal predecessors, and Sleep Token’s output rings hollow by comparison. At least Linkin Park, as irredeemably corny as they became, could translate genuine pathos with undeniable shout-alongs like “Numb” and “In the End.” At least Slipknot’s biggest radio staples retained the band’s tortured disposition. Even Metallica’s most commercial gambits, Load and Reload, had songs that fucking rocked. Sleep Token never let themselves rock on Even in Arcadia. Sex and violence are only ever suggested, never displayed. The metal elements are so superficial, forced, and uninspired that they recall a college student doing volunteer work solely to pad their resume.

Choisissez l'un de leurs prédécesseurs aréna-métal et les anneaux de sortie de Sleep Token Hollow en comparaison. Au moins Linkin Park, aussi irrémédiablement ringard que possible, pouvait traduire un véritable pathos avec des cris indéniables comme «Numb» et «à la fin». Au moins, la plus grande radio de Slipknot a conservé la disposition torturée du groupe. Même les gambits les plus commerciaux de Metallica, la charge et le rechargement, avaient des chansons qui se balançaient. Le jeton de sommeil ne se laisse jamais basculer même en Arcadia. Le sexe et la violence sont seulement suggérés, jamais affichés. Les éléments métalliques sont si superficiels, forcés et sans inspiration qu'ils se souviennent d'un étudiant faisant du bénévolat uniquement pour remplir leur curriculum vitae.